Tuesday 20 September 2011

Doit-on renoncer à sa culture/son identité pour s’intégrer à son pays d’adoption ?

Bonjour! Voici un nouveau sujet de discussion. Si vous voulez réagir sur cette question lisez et faites d'abord la compréhension du texte Béni ou le Paradis privé qui se trouve dans le Workbin. (Cette compré écrite est obligatoire pour tous les étudiants)

Doit-on renoncer aux spécificités de sa culture pour s’intégrer dans une nouvelle société ou un nouveau pays ? Peut-on garder sa propre identité - la façon de vivre, de parler, même de manger quand on vit dans un pays où les moeurses sont complètement différentes?

12 comments:

  1. Doit-on renoucer aux spécificités de sa culture pour s’intégrer dans une nouvelle société ou un nouveau pays? Mon réponse est “Non”. Ce n’est pas nécessaire. Je pense que vivre en accord avec les spécificités de sa propre culture ne contredit pas s’intégrer dans un nouveau environnement. Les deux choses sont complètement compatible.
    Si on veut garder sa propre identité, on peut choisir de parler, manger et comporter suivant sa propre coutume quand on est parmi des familles et des amis qui partagent la même culture que soi-même. On peut célébrer les fêtes uniques de sa culture et suivre la religion qu’on croit en dans la vie privée. Mais quand on est parmi les gens d’une autre culture et on a envie de s’intégrer, on peut changer sa mode de vie et adopter un autre système de coutume qui est populaire parmi les gens locals. En ce cas, parler la langue qu’ils utilisent, manger les aliments qu’ils aiment et compredre leur religion va laisser la tâche de s’intégrer plus facile. C’est vrai que ça peut être difficile au début. Mais après une période de temps et beaucoup d’effort, quand on s’est vraiment intégré avec les gens autochtone, ce tâche difficile devient une activité quotidienne. Les coutumes qui se semblait bizarre et déroutant devient une partie de sa vie. En conséquence, on a gagné quelques nouvelles characteristics sans perdre sa spécificité originale et on devient un métis.

    Li Han

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  2. En répétant cette question, je ne peux pas m’arrêter de me demander une autre question : dans quel cas peut-on dire «oui » ? Selon moi, renoncer à sa propre culture est un fait inimaginable. Simplement, on doit être fier de sa culture. Mais en même temps, la définition de l’identité n’est pas toujours claire. Si on a décidé de vivre à un pays pour toute sa vie, le pays d’adoption est devenu leur propre pays. Ça veut dire que les valeurs que tous les gens partage dans ce pays peuvent aussi devenir les valeurs des immigrants. Des immigrants peuvent maintenant changer leurs vies et vivres comme les résidents locaux. Ils peuvent gouter des cuisines locales, s’habillent des vêtements locaux et parlent la langue locale. Mais faites attention, ce n’égale pas à renoncer à sa culture. Accepter une nouvelle culture, c’est bon ; renoncer à sa propre culture, c’est différent. En renonçant sa culture, on manifeste une attitude de détester d’où vient-on. Cette attitude nous dire que la personne pense sa culture est inférieure. J’ai une explication pour le fait de renoncer. C’est que la personne n’est pas assez réussie, et donc il ne peut pas montrer et convaincre les autres que sa origine est aussi achevé. Pour cette personne, malheureusement, une culture est celle qui coule dans le songe. On ne peut pas lui renonce vraiment.

    Pour moi, je suis fier de mon pays—la Chine. Mais quand je parle avec mais amis singapouriens, je parle anglais standard. Ce n’est pas à cause de détester la langue Singlish. La raison est sincère: quand j’apprenais l’anglais dix ans avant, j’étudie l’anglais standard. Je mange près que toutes les cuisines Singapouriennes. J’achète des vêtements ici. Qu’est-ce que les problèmes ? Rien.

    Yawen Lai

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  3. « Doit-on renoncer à sa culture/son identité pour s’intégrer à son pays d’adoption? »


    Est-qu’on maintient son identité ethnique à travers sa vie sans tenir compte d’environnement culturelle où on habite? Ou est-qu’on renoncer à son identité culturelle et fait quoi les Romains font quand on est à Rome?

    À mon avis, il n’est pas nécessaire (et peut-être il ne devrait pas d’être nécessaire) de renoncer son identité culturelle pour adapter à une nouvelle situation. On est ouvert à apprendre une nouvelle culture. Mais on suive les valeurs sur la vie à qui on croie - la plupart de ces valeurs sont originales de sa culture propre.

    Par exemple, moi, je suis née et élevée au Vietnam - la culture collectiviste qui valorise l'harmonie sociale, la collaboration, l'intérêt partagé - c’est aussi les valeurs de la vie à qui je croie. Quand je suis à Singapore, je rencontre beaucoup de gens de la culture individualiste qui favorise l'exercice de ses buts et désirs.

    Je suis ouvert à apprendre de leurs cultures et les façons dont ils se comportent. Je suis franc-parler quand je discute ou débats avec eux sur certains sujets en classe parce que je trouve que la culture individualiste encourage les gens à exprimer franchement leurs propres opinions. Mais hors de la salle de classe, dans les conversations quotidiennes, je ne préfère pas débats avec les gens. En fait j'essaie toujours de trouver de l'intérêt partagé entre moi et les autres parce que je veux être en harmonie avec le monde.

    En conclusion, il n'y a pas de culture qui est plus authentique ou supérieure que d'autres. Partout dans le monde, il y a des groupes et des communautés qui célèbrent leurs différences, et au même temps respectent le statut de nation à laquelle ils appartiennent.

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  4. moi aussi, je pense pas qu'il faille renoncer à notre culture pour s'intégrer. on garde ce qu'on a, on vit comme on veut, mais, l'importance, c'est qu'il faut respecter la culture, les mœurs de notre pays adopté, et enfin y adapter..

    (je m'excuse si je m'écarte du sujet) mais, je pense que le problème aujourd'hui, c'est plutôt la volonté de s'intégrer. prenons cet exemple: quand j'étais à paris, j'ai croisé un mec chinois, qui a vécu en france depuis 15 ans; il peut pas construire une phrase en français. pourquoi? - il vit dans le 13e, et il a jamais besoin de s'en aller. comment s'intégrer quand on peut même pas communiquer avec les autres.
    bien sûr, c'est un exemple un peu extrême, mais c'est vrai, les gens comme lui existent. c'est pareil avec les maghrébins, les noire et les arabes (en france je veux dire). il existe le manque d'intégration entre ces trois communautés et les français en général.

    bas, de l'autre côté, on peut blâmer la société pour ça. que la société est xénophobe, et que la société ne fait aucun effort à aider leur intégration. oui, je suis d'accord qu'il existe toujours le racisme et la discrimination dans beaucoup de pays. d'après moi, la france est le pays le plus tolérant en europe; mais malgré ça, on voit clairement le problème d'intégration. on peut aussi attribuer la responsabilité au gouvernement français qui a pas attaquer les racines du problème. pour moi, je pense qu'il faut vraiment commencer aux jeunes. dès que les enfants commencent à développer leur cerveaux, il faut les apprendre qu'on voit pas la race, la couleur de peau, qu'on est tous de la même nationalité. on partage nos culture différents bien sûr, mais il faut les voir comme des choses uniques et pas une différence. c'est plus facile à dire que le faire. mais je pense qu'on a démontrer ici à singapour que c'est bien possible.

    par contre, je vois le même problème se développe à singapour. on a de plus en plus immigrants qui viennent à singapour. et ceux (la plupart sont des riches, des élites) qui vont rester longtemps, plus de 10-20 ans, ils ont décidé d'envoyer leurs enfants aux écoles internationales. c'est pas un problème pour moi s'ils ont décidé que leurs enfants doivent suivre le système éducation supérieur de leurs pays. c'est qui m'inquiète, c'est que dans 15 ans, on va voir une séparation entre ces gens et les singapouriens. si on se mélange pas qu'on était jeune, à l'école, on se mélangera et on se connaîtra jamais.

    enfin, ce n'est plus une question de garder notre culture, notre identité.. c'est comment de ne pas voir les différences entre nous et vivre ensemble.

    peut-être vous me convenez pas, mais c'est juste mon point de vue.

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  5. Peut-être que je différent du reste qui disent exclusivement oui ou non. Pour moi, je pense que cette question n'est pas un qui a seulement une réponse. C'est parce qu'il dépend du contexte.

    On ne doit pas renoncer aux spécificites de sa culture pour s'integrer, mais il y a des quelques choses qu'on doit renoncer quand on vit dans une nouvelle société. Cela dépend aussi de quel type de spécificité de la culture qu'on pratique. S'il est une chose qui peut déranger les autres, on ne devrait pas le faire.

    En plus, je veux parler de situation où ce n'est pas la question de garder son propre identité ou renoncer sa culture. C'est la situation où la nouvelle société ou un nouveau pays a des règlements spécifiques qui tout le monde doit suivre. Par exemple, dans certains des pays arabes, on ne peut pas porter des vêtements révélateurs et parfois, on doit porter l'abaya et l'écharpe en dehors de la maison. Qu'est-ce qu'on fait?

    Je pense qu'on doit tout faire avec moderation. Pas trop extrême pour garder sa culture, mais ne pas perdre son identité. Le danger de la mondialisation réside dans l'homogéneisation des gens car tout le monde a la même façon de vivre, de parler, et de manger. C'est aussi parce que les gens sont mobiles et voyagent beaucoup et migrent.

    Bien sûr on doit s'adapter mais je pense que l'adaptation ne signifie pas nécessairement renoncer à ce qu'on a déjà. Cela signifie simplement qu'on doit être plus flexible.

    -Irna

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  6. ♥ ----- SALUT C'EST SOPHIE ----- ♥

    On a certainement pas besoin de RENONCER à sa culture ou identité culturelle de son pays d'origine, mais comme certains ici on déjà remarqué, je pense qu'il est très important de respecter les normes et règles du pays à laquelle vous avez émigré.

    Le racisme et la discrimination existe, et va être un problème pour encore beaucoup d'années. Par contre, étant un étranger, un émigré, je trouve qu'il n'est pas correcte de demander à l'état ou les gens du nouveau pays de leurs faire des sacrifices.
    Prenant un exemple exagéré: je pense que le peuple Singapourien sera plutôt fâché si un groupe de français voudrait faire construire une petite Tour Eiffel, simplement parce qu'ils l'adorent tant.

    Je suis moitié française, ayant venue à Singapour quand j'avais 8 ans. Mon père (français) vit toujours en France tandis que j'habite seule avec ma mère. Très vite j'ai appris les coutumes locales et surtout le Singlish. Il faut dire que honnêtement je retiens très peu de culture ou identité française, pas parce que j'ai trouver nécessaire de l'abandonner, mais simplement parce que je n'avais aucune occasion de pouvoir le garder. Je suis entrée dans une école primaire Singapourienne, et je connaissais aucune personne française ici.

    Simplement, si les émigrés choisissent de se regrouper et d'exclure le autres, tout comme les autres les excluent, l'intégration est difficile. Il faut toujours s'en souvenir que nous somme l'étranger, et donc de respecter les normes qui existent, et d'essayer de faire comprendre nos coutumes et cultures aux habitants. Si l'un et l'autre exigent tout les deux de rester entre eux mais en même temps, de vouloir avoir le droit de faire exactement comme chez eux, l'intégration est surement difficile.

    ♥ ----- ZE END ----- ♥

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  7. Pour moi, d’un côté il faut que l’origine et donc la culture et l’identité doivent rester en tous les personnages à demeure. D’autre côté pour avoir où gagner la coopération pendant les jours ouvrables adaptation est essentielle même aussi. Pour cela de résister d’ajuster la culture aux environs ne marche pas. Juste dans notre monde où mondialisation marque l’économie, la politique, les religions etc. de plus en plus gens entrent en communication en-ils même l’intégration est essentielle au moins facilite la vie sensiblement. Mais il faut que nous n’ignorer pas la cause pour ça par exemple voyager être adoré constamment par gens qui – naturellement – n’ont pas ultraconservateur. Il est captivant, enrichissant et tous plus de découvrir des autres cultures, des différences de modes de vie. Je crois que le monde resterait ennuyeux et la sensation d’identité serait perdue si tous sont identiques. Quand quelqu’un déménage dans un autre pays l’identité et la culture peuvent aussi aider d’être habitué aux nouveaux environs.

    Somme toute, pour moi, non seulement d’adaptation mais encore la raisonnable conversation de la culture (et pas des renoncements) complètent le meilleur mélange d’intégration.

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  8. Comme les autres ont déjà dit, je pense que on ne doit pas renoncer complètement à sa culture ou identité pour s’intégrer, mais il est nécessaire qu’on respecte la culture et les coutumes de son pays d’adoption. L’intégration serait très difficile si les émigrés veulent garder strictement sa propre identité et toutes ses propres mœurs, mais ca ne dit qu’on doit renoncer tout. Et comme Yawen a déjà remarqué, changer la façon de vivre, de parler, et de manger n’est pas égale à renoncer à sa culture. À mon avis ça c’est plutôt d’accepter une nouvelle culture.

    Je passais une partie de ma vie à l’étranger, avant étais revenue à Singapore il y a 4 années. Ma famille a déménagé quand j’avais 10 ans et donc j’ai dû adapter à un nouveau pays (en fait j’ai habité au Cambodge, en Indonésie et peu de temps au Vietnam, j’ai dû adapter à trois pays différents). Avec chaque nouveau pays j’apprends les mœurs différentes et plus en plus les spécificités de la nouvelle société, on peut dit que je m’intègre plus dans les nouvelles sociétés mais je pense que je ne renonce pas à ma culture Singapourienne quand j’y ai habité. Je change ma façon de vivre, de manger et de parler suivant le pays d’adoption, mais je pense que c’est normal. C’est comme quand on voyage à l’étranger et mange leurs cuisines ; quand on voyage à Paris, on mange les cuisines françaises, mais il ne veut pas dire qu’on renoncer à sa propre culture. On peut faire les deux en même temps, ils ne sont pas les concepts qui contrastent.

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  9. Je suis d’accord avec Irna que la réponse de cette question dépendrait du contexte.

    D’un côté, je suis d’accord que ce n’est pas nécessaire de renoncer sa culture pour s’intégrer dans une nouvelle société. Beaucoup d’entre nous ont remarqué que c’est bien possible de garder notre culture dans un nouveau pays. Pourtant, je pense que cela est facile quand la culture de pays d’origine et celle de pays d’adoption sont similaires. Quand je suis arrivée à Singapour il y a 8 ans, je n’avais pas beaucoup de problème parce que la façon de vivre ici est assez similaire que ma façon de vivre en Indonesie. Par exemple, les valeurs sociales sont assez similaires, et la cuisine aussi. Au contraire, quand j’étais à Paris l’année dernière, je me sens que c’est plus difficile de garder ma façon de vivre. D’abord, on mange différemment là-bas. Bien sûr il y a des supermarchés ‘asiatiques’, mais est-ce que ceci peut-être considéré comme une intégration, si l’on ne vive que par la façon de notre culture d’origine dans un pays étranger?

    Cela m’amène à la question, c’est quoi l’intégration? À mon avis, l’intégration est quand les immigres et les hôtes ne se sentent plus comme deux communautés séparés. Ils sont différents mais pas séparés par les différences. La personne bien intégrée est à l’aise avec les deux, sa propre culture d’origine et la culture du pays d’adoption. Il faut aussi que les gens du pays d’adoption soient à l’aise avec la nouvelle culture.

    Donc c’est clair que pour que les immigres puissent s’intégrer, les hôtes jouent un rôle important. Revenons sur la question, doit-on renoncer sa culture ? Je constate que cela dépend aussi du comportement des hôtes et le gouvernement de pays d’adoption. Si les immigrantes sont mal acceptées ou discriminées, cela va créer une pression à changer ses cultures et façons de vivre, et va terminer par la renonciation de culture d’origine. Un exemple un peu extrême, dans les années 1960s toutes formes de culture chinoise (soit le nom chinois, les langues, ou les fêtes) étaient interdit en Indonésie. C’est une situation où les immigres ne peuvent que renoncer sa culture.

    Comme j’ai remarqué au début, la nécessité de renoncer sa propre culture pour s’intégrer va être divergente selon le contexte. Mais pour qu’on puisse vraiment s’intégrer il faut que les gens considèrent l’un des l’autres au-delà du mur culturel et le voient simplement comme un être humain.

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  10. Partie 1:
    Je pense qu’il n’est pas possible de renoncer à toute sa culture ou son identité en s’intégrant à son pays d’adoption, même si on le veut, mais je crois que c’est nécessaire et respectueux envers les gens de sons pays d’adoption d’abandonner certaines coutumes qui dérangeraient les autres. Si on a fait le choix de partir de son pays d’origine pour vivre dans un autre pays, on ne devrait pas essayer de changer ce dernier pays pour qu’il soit comme son pays d’origine. Sinon, pour quelles raisons voulez-vous rester dans votre pays d’adoption ? Pour beaucoup de monde, c’est simplement en raison de l’économie, qui est meilleure dans leur pays d’adoption, mais je pense que cela n’est pas suffisant. Souvent, ces personnes n’essaient pas de s’intégrer proprement à leur nouvelle société. Ils préfèrent garder toutes leurs coutumes et se mêlent seulement avec les gens qui viennent du même pays qu’eux. Naturellement, la rupture entre les deux groupes, c’est-à-dire les ressortissants et les immigrés, continue à augmenter. Parfois, ils s’attendent à beaucoup trop ; les citoyens peuvent sacrifier leur mode de vie mais pas les immigrés. C’est comme si le choix de vivre dans leur pays d’adoption était déjà un sacrifice. On ne peut pas s’attendre à ce qu’un pays entier change seulement pour vous. Bien sûr que je ne suis pas d’accord pour renoncer totalement à sa culture, ce n’est pas ce que je veux dire, mais l’identité peut changer et c’est crucial de trouver un compromis pour s’intégrer dans un autre pays. Ce que l’on mange ou porte ne sont que des questions superficielles, ce qui est important est l’ouverture de l’esprit et le respect.

    Dorisa

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  11. Partie 2:

    Je vais décrire un exemple en Australie qui est un peu extrême mais tout à fait pertinent. Il y a un homme qui a été fouetté 40 fois par des Musulmans comme une forme de punition parce qu’il a bu de l’alcool. Cette victime est un Australien qui s’est juste converti à l’Islam. Une telle punition n’est pas un tort dans la loi de la charia ; en fait, d’autres Musulmans de la communauté ont déclaré que la seule faute est que la flagellation a été seulement la moitié de ce qui aurait dû se passer. Cependant, ils doivent se souvenir que la loi charia n’est pas pareille à la loi australienne, et c’est ce que la police a affirmé quand elle a dit qu’il n’y a pas de place pour la charia en Australie. En faisant ce type de choses, ces immigrés éloignent encore plus leur communauté, mais le problème qui reste est qu’ils se fichent de s’intégrer. Ils ne veulent pas s’intégrer, ils veulent que les gens deviennent comme eux.
    En Europe occidentale où le multiculturalisme est promu, surtout par la gauche, il reste encore beaucoup de discrimination à travers la société. Je suppose que la plupart des gens a connaissance d’une loi plus ou moins nouvelle qui est établie en France : l’interdiction du voile islamique. Beaucoup de Musulmans pensent tout de suite que c’est une attaque de la France contre l’Islam alors que c’est une tentative de protection du laïcisme qui est essentiel en France et qui est aussi l’une des rares questions qui unit encore la gauche fragmentée. Cette interdiction peut être vue comme extrême dans certains yeux, mais elle n’est pas contre la religion, elle est en fait contre l’extrémisme et pour la modération. Je pense que c’est aussi indispensable dans le domaine de la sécurité nationale, quand les femmes refusent d’enlever le voile au tribunal et pour le dédouanement, et personne ne sait qui est sous le voile. En plus, ce n’est pas seulement la France qui bane le voile islamique, la Belgique a introduit sa propre interdiction cet été qui est plus stricte, le partie de Berlusconi est en train de préparer une loi comme celle-là, le Danemark prépare une législation pour limiter le port du voile, et des politiciens en Autriche, au Pays-Bas et en Suisse font pression en faveur d’une interdiction absolue. Mais d’un autre côté, est-ce que ce n’est pas seulement la tenue ? Je pense que cela révèle un problème principal de l’intégration qui exige de l’attention et de l’éducation, surtout maintenant que des gens commencent déjà à menacer et même battre les femmes portant le voile.
    Dorisa

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  12. Qu'est-ce que la question demandée est clairement sur l'immigration dans un pays désigné, peu importe pour quelles raisons politico-économiques ou regroupement familial, elle constituait un désir de changer son environnement volontairement. Comme l'immigration est un choix volontaire de l'immigrant, il doit faire un effort et être prêt à faire des sacrifices si nécessaire pour s'adapter à une société différente.

    À Hong Kong, nous avons débattu vivement sur ​​les questions de la culture des autres (en particulier, certaines habitudes de nouveaux venus) et de la tolérance. Selon le président de l'Association Hong Kong des diplômés continentals (HKAMG), «les Chinois accroupis sur le sol est une culture, les Hongkongais devraient avoir la capacité de respecter la culture." Le président de Philippines, Benigno Aquino III, a refusé de s'excuser pour la prise d'otages (la crise d’otages à Manille) parce que dans la culture philippine et dans leur système, ils ne peuvent pas admettre la faute des autres et s’excuser au nom des autres. Ces deux cas nous ont montré que le mot "culture" a été abusé pour servir d'excuse pour de mauvaises habitudes et la limite du relativisme culturel.

    La vérité est généralement plus facile à comprendre que cela puisse paraître, mais aussi facile d'oublier par des gens dont les yeux sont couverts par des sophismes spécieux. En chinois, nous avons un dicton similaire à «à Rome il faut faire comme les Romains» (入鄉隨俗: Où que vous soyez, suivez les coutumes locales), l'essentiel de la question n'est pas de l'arrogance culturelle ou de la supériorité culturelle, mais d'être prévenant et respecter les normes sociales et les règles de votre pays d'accueil. Cependant, trop de intrus irrespectueux exigent désormais le respect et la «tolérance» (包容) de leur hôte ... Juste pour donner un exemple simple, supposons que vous êtes habitué à porter des pantoufles à la maison, mais quand vous allez chez votre ami japonais, allez-vous enlever vos chaussures et se conformer à la coutume japonaise ou allez-vous insister encore de porter votre paire de pantoufles pour entrer à l'intérieur?

    Cela dit, pourtant, ce n’est peut-être pas nécessaire de "renoncer" ses spécificités culturelles si les pratiques culturelles entre le pays d'origine et pays destiné n'entrent pas en conflit à la première place. En outre, respecter les coutumes de l'autre ne signifie pas la perte de l'identité de soi. Lorsque les immigrants apporter spécificités bénéfiques, ce serait effectivement enrichir le pays d'accueil dans son ensemble. Par exemple, la première génération d'immigrants de la Chine qui sont arrivés à Hong Kong dans les années soixante étaient diligents et et disposés à s'intégrer dans la culture locale, ils ont beaucoup contribué à l'économie de Hong Kong.

    Pour résumer, la question demande dans quelle mesure êtes-vous prêt à aller pour l'immigrer et s’intégrer. Pour moi, on peut garder leurs «spécialités» culturelles, tant que ceux-ci n'affectent pas le mode de vie de l'autre. Et ce renoncement ne doit pas aller trop loin jusqu’ au rejet total de l'origine de l’un.

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